MISSIONS INOVBIOTECH

Missions

 Objectifs globaux

Selon les différentes équipes de recherche du Plan Stratégique de la Recherche Appliquée, Opérationnelle, Exploitable et Innovante (PSRAOE-I) les solutions aux problématiques de développement en l’Afrique doivent trouver leur point d’ancrage dans la prise en compte de nos valeurs endogènes, des résultats de recherche et des Innovation de nos universités et qu’il faudrait les intégrer les visions d’émergence de nos nations afin que les politiques publiques sectorielles soient plus efficientes et plus efficaces. A cet effet, il est préconisé :

  • de conceptualiser, de concevoir et d’élaborer des stratégies africaines des modèles et des systèmes de performance sectorielle pour développer chacun des secteurs identifiés
  • de mettre en place une technopole avec le démembrement pays pour implémenter les technologies, les biotechnologies et les innovations y relatives.
  • Objectifs spécifiques

Plus spécifiquement, il sera question pour l’Université Agricole de Management des Métiers de la Production (UAMMP) :

  • d’élaborer une stratégie intégrée et harmonisée d’implémentation de l’Agenda 2063 de l’Union Africaine, en ce qui concerne la science, la technique, la technologie et les innovations issue de la recherche scientifique africaine ;
  • De mettre en place une super technopole virtuelle et ensuite physique en vue du développement harmonieux des 12 secteurs constitués ;
  • De développer les curricula de formation en vue de la mise en place d’une ressource humaine de qualité sur le continent apte à transformer les ressources de notre sol et de notre sous-sol,
  • de construire des dynamiques de promotion et de développement de l’entrepreneuriat jeune véritable au sein des universités africaines.
  • Activités à développer

La mise en place de la technopole panafricaine INOVBIOTECH AFRICA est une opération qui nécessite une mobilisation importante de ressources, l’implication de la Commission de l’Union Africaine, des commissions régionales et des pays. Les élites africaines doivent être mobilisées afin de doter l’Afrique d’une autorité de régulation de coordination des innovations technologiques appliquées en Afrique.

Pour relever ce défi, un certain nombre des activités sont planifiées et seront programmées le cas échéant.

  • une stratégie intégrée et harmonisée d’implémentation de l’Agenda 2063 de l’Union Africaine

Si l’Afrique veut accroître son influence dans la sphère science, technologie et innovation, elle doit prendre des mesures courageuses dans le secteur pour réduire le fossé qui la sépare des pays avancés et émergents. Les universités et les institutions de recherche doivent travailler dans une approche stratégique commune avec pour seul et unique but de contribuer à l’avancement scientifique et technologique de l’Afrique.

Il va falloir mettre en place une stratégie globale, intégrée et harmonisée de la recherche scientifique, technologiques et de l’innovation. Elle devra intégrer la clause de transfert des résultats aux entreprises pour implémentation afin de créer la plus-value et les emplois sur le continent. Il faudra mettre en place un marché des innovations techniques et technologiques.

Cette démarche s’avère très importante pour l’Afrique qui veut changer sa destinée et influencer les relations internationales en sa faveur.

  • une super technopole virtuelle et ensuite physique en vue du développement harmonieux des 12 secteurs identifiés

Il doit au niveau du continent, de chaque sous-région ou de chaque état, avoir une structure d’application et d’implémentation des résultats de la recherche scientifique. Il s’agit de la super technopole à mettre en place : INOVBIOTECH AFRICA. Les 12 secteurs des activités constituées devront s’y retrouver et les acteurs regrouper selon la répartition et la nomenclature de la super technopole.

INOVBIOTECH AFRICA sera dans un premier temps virtuel, et ensuite physique pour traduire dans les faits la valorisation des résultats de la recherche et les innovations qui en découlent.

Il est question de changer les paradigmes issus de la colonisation et de mettre en place les politiques et les stratégies qui répondent le mieux aux aspirations de notre jeunesse et de notre population qui ont besoin de voir ses conditions de vie s’améliorer.

Les états, les sous-régions et la Commission de l’Union Africaine devront peser de tous leurs poids afin que cette instance voie le jour avec ses zones de franchises techniques, technologiques et biotechnologiques.

  • les curricula de formation en vue du développement d’une ressource humaine de qualité sur le continent

On ne le dira jamais assez, le véritable drame d l’Afrique se trouve des politiques mises en place qui ont fortement pénalisé le développement d’une ressource humaine de qualité capable de transformer nos richesses du sol et du sous-sol. Il va falloir créer un nouvel environnement de formation universitaire de manière que les étudiants africains soient capacité à créer et à gérer les entreprises dès la fin de leurs cursus universitaires.

Les curricula développés devraient être en adéquation avec les besoins de la société, de l’économie, la société et de l’industrie. Les stratégies opérationnelles y relatives devraient être développées pour produire dans les brefs délais la ressource dont nos Etats ont besoin pour se développer.

Un accent sera mis sur le Système de Transfert des Compétences (STC) et le Système de Développement de la Performance (SDP) pour permettre l’accélération des processus de développement.

 

  • Dynamiques de promotion et de développement de l’entrepreneuriat jeune véritable au sein des universités africaines

L’entrepreneuriat et la création des entreprises doivent cesser d’être des mythes pour devenir des réalités vivantes et pratiques dès le campus universitaire. Nos universités doivent devenir des véritables centres d’incubation à ciel ouvert où le seul et unique langage devrait être la création par les étudiants des entreprises, des emplois et des richesses.

Des dynamiques sociales de promotion et de développement de la culture entrepreneuriale et de création des entreprises devraient mise en marche au sein des campus universitaires Africains. Il s’agit d’une activité qui doit être animée et entretenue à tous les niveaux de L’UNION AFRICAINE. Seules les entreprises assurent le développement des nations. La jeunesse doit se mettre au service du continent.

  • Résultats envisagés
  • une stratégie intégrée et harmonisée d’implémentation de l’Agenda 2063 de l’Union Africaine, en ce qui concerne la science, la technique, la technologie et les innovations issue de la recherche scientifique africaine est élaborée ;
  • la super technopole virtuelle et ensuite physique en vue du développement harmonieux des 12 secteurs identifiés est mise en place ;
  • les curricula de formation en vue du développement d’une ressource humaine de qualité sur le continent apte à transformer les ressources de notre sol et de notre sous-sol sont élaborées,
  • les dynamiques de promotion et de développement de l’entrepreneuriat jeune véritable au sein des universités africaines sont construites.